Soumise et prêtée pour essayage

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il y a 7 ans

Soumise et prêtée pour essayage

Pierre m’informa que je devais rapidement être prêtée a une de ses relations car

cette personne devait s’absenter pour longtemps et il désirait m’essayer avant de

partir , il me donna l’adresse et me demanda de m’y rendre habillée en jupe courte,

bottes cuissardes, et chemisier, sans sous vêtements.

Je me préparais, j’étais prise de court, cela m’affolait un peu, je n’avais pas le

temps de me préparer a cette idée

J’arrivais au pied de l’immeuble, mon cœur battait la chamade, d’ici peu de temps

j’allais être nue devant je ne sais qui et je devrai obéir

Je reconnu le nom sur la sonnette : Alain, j’hésitais, que vais-je dire, je me

lançais, je sonnais, une voix :

  • Allo, oui ?

  • C’est Patricia, je viens de la part de Pierre

  • Je vois très bien montez au 3 em

Le clic de l’ouverture de la porte d’entrée, je la poussais, je me dirigeais vers

l’ascenseur, je me dirigeais vers mon destin, je montais, l’ascenseur stoppa, je fis

quelques pas, je me trouvais devant la porte

Je sonnais, après un instant, qui me sembla court et en même temps une éternité,

celle-ci s’ouvrit

Un homme assez grand, maigre, la quarantaine, en robe de chambre, un air « supérieur

», imbu de sa personne, dédaigneux, se trouvait devant moi, un ricanement sur le

visage, et j’allais devoir lui obéir, je le détestais déjà, j’osais a peine le

regarder

  • Vous venez pourquoi ?

Cette question me déstabilisa, (je suis le plombier avais je envie de répondre,

j’avais envie de pouffer de rire, c’était nerveux), je bafouillais : je viens de la

part de Pierre pour …,(je ne savais plus que dire), je baissais les yeux

  • Vous êtes la femelle qui vient pour se faire dresser et écarter les cuisses,

est-ce bien cela, il ne faut pas être timide, osez le dire ?

  • Oui, Monsieur Alain, je suis la femelle qui vient pour être dressée

Il me fit rester sur le palier, déboutonna lentement mon chemisier, rabattit les pans

de celui-ci vers l’arrière de mes épaules avec b r u t a l i t é , laissant ainsi ma poitrine

a l’air

Il me prit les seins, les soupesa, les malaxa, les claqua de haut en bas, puis de

droite à gauche, me pinçait les bouts, (il m’avait fait mettre les mains derrière la

tête), il me « travaillait » les mamelles comme il le disait, cette alternance de

douleurs, caresses commençait a me faire de l’effet, je commençais sérieusement a

mouiller

  • jolies mamelles, les bouts déjà en érection, je suis sur que ce traitement te

fait de l’effet

Il voulu vérifier, il dirigea une main vers mon entre jambe, j’écartais les cuisses,

il introduisuit deux doigts dans ma chatte profondément et sans ménagement :

  • Tu lubrifies vite ma belle, déjà trempée, tu dois être une bonne salope,cette

chatte s’ouvre déjà, tu verras tout a l’heure, tu seras étonnée de voir a quel point

cette chatte va s’ouvrir

J’entendis l’ascenseur redescendre, s’arrêter puis remonter, je paniquais, pendant ce

temps, Alain m’ordonna de retirer ma jupe, j’étais alors nue sur le palier, campée

dans mes bottes cuissarde a hauts talons, bref : la parfaite catin que l’on évalue

pour savoir si elle vaut le coup, et cet ascenseur…..

L’ascenseur stoppa à l’étage comme je le redoutais, horreur, un homme en sorti,

j’étais pétrifiée, instinctivement, je me protégeais la poitrine avec un bras, de

l’autre mon entrejambe

Je reçu alors une paire de gifles magistrale, suivi d’un ordre :

  • Mains derrière la nuque, cuisses écartées la bourge, tu es ici pour être

dressée, utilisée, tu aimes être soumise et humiliée, alors assume. Tu as de la

chance, de nombreuses femmes sont frigides, et n’éprouvent donc aucun plaisir sexuel,

toi, tu ne demandes que du plaisir.

Les hommes préfèrent les salopes et putes de ton genre, cesse de jouer a la pimbêche

et sainte nitouche et reconnais que tu aimes le cul, de faire sauter, te faire

dominer, sucer les hommes, j’attends

  • Oui, Monsieur, je suis soumise et j’aime cela, j’aime le sexe, j’aime les

sexes des hommes, j’aime sucer

  • Ton épilation te va à ravir, la fente bien en avant, qui ne demande qu’à être

f o r c é e

Alain, d’adressant à l’inconnu :

  • c’est une relation qui me la prêtée pour l’après-midi, si tu veux tu peux

m’aider a la dresser, si tu as besoin de te vider les burnes n’hésites pas, elle en

sera ravie, (ce monsieur devait être un copain et ceci une mise en scène)

  • Cela sera avec plaisir

Alain me fit tourner sur place, ils me palpèrent, me détaillèrent : mon cul, ma chatte

avec la fente bien en avant, mes seins qui ne demandaient qu’à être travaillés, ma

bouche a être fouillée, ils vantèrent mon épilation.

  • Elle est baisable, j’espère qu’elle sera une bonne salope et qu’elle chantera

bien

Ils se décidèrent a me faire entrer dans l’appartement, je me sentais humiliée, objet

sexuel, femme publique, et pourquoi aimais-je cela ? Pourquoi cela me faisait il

autant mouiller? Pourquoi cette envie d’être v i o l ée, f o r c é e, ouverte, fouettée.

  • mets toi a quatre pattes, le tête en bas, ton cul en l’air et présentes nous

tes trous.

Je crus comprendre que je devais prendre cette position et écarter les deux lobes de

mes fesses avec les mains

  • La bourge le cul en l’air prête a se faire saillir !!!

Je ne m’y attendais pas, je reçus un coup de fouet, d’autres suivirent, puis ce fut la

cravache, mes fesses brûlaient, je serrai les dents et en même temps des picotements

dans mon bas ventre se faisaient ressentir, j’avais envie de me caresser. les coups

cessèrent

  • Il me releva la tête : tu me dis merci pour la correction et tu suces

Je le remerciais, écartais les pans de la robe de chambre, un sexe, pas très long,

mais très très épais apparu, c’était impressionnant, il était bien droit et raide, je

le décalottais, il allait m’étouffer, et le mit dans ma bouche, j’en avais plein la

bouche, et commençais a le sucer en caressant les bourses, je reçu un avertissement :

  • Si tu continues comme cela tu vas recevoir une raclée, appliques toi

J’y mis tout mon cœur, la ressortant, la léchant, l’engloutissant a nouveau aussi loin

dans ma gorge que je le pouvais, léchant les bourses, le masturbant lentement en même

temps, il m’ordonna de le regarder dans les yeux.

J’étais agenouillée devant cet homme que je méprisais, contrainte a lui donner du

plaisir, a le satisfaire, et j’aimais cette situation, pourquoi ?, je ne puis

l’expliquer.

Cet homme que je méprisais pouvais faire de moi ce qu’il désirait, m’ordonner…pourquoi

aimai-je être humiliée de la sorte ?

  • suce bien salope, tu aimes cela, et remercie moi de te permettre de me sucer

  • Je vous remercie de bien vouloir me laisser vous sucer, monsieur Alain

Je sentis son sexe se durcir encore plus, il stoppa, et laissait la place a son

copain. Son sexe était beaucoup moins épais mais plus long, j’en fis de même. Cet

homme ne me laissa pas mener le jeu, il m’emmena le dos contre une table basse,

accroupie, les cuisses bien ouvertes me tenant la tête, il se servait de ma bouche

comme d’un vagin, butait contre le fond de ma gorge, il se déchargeât, par longs et

abondants jets de sperme,

  • avale salope

J’avalais tout jusqu’à la dernière goutte

Ils avaient décidés de me faire faire un peu d’exercice, ils m’attachèrent une pince

au bout de chaque sein ‘les dents métalliques des mâchoires me faisaient très mal,

c’était horrible, comme si les bouts de mes seins allaient être arrachés et en même

temps cette douleur me faisait mouiller encore plus.

Au bout de chaque pince des grelots, je devais sautiller sur place devant eux, les

mains derrière la nuque, mes seins ballottaient, je devais avoir l’air ridicule, par

la suite ils ont adjoints des poids aux pinces , la douleur était alors atroce, les

larmes me coulaient le long des joues, ils ont voulu y adjoindre des poids encore plus

lourd, là, je n’en pouvais plus, je me suis jetée a leur pieds en s a n g lotant et en

implorant leur mansuétude, je pleurais a chaudes larmes,

Ils n’ont pas insisté, ont retiré les pinces, m’ont dit qu’ils allaient me faire

connaître le septième ciel et me consolaient.

Nadine me manquait, elle, elle savait comment me consoler

Ils m’ordonnèrent de me mettre a plat dos sur le lit, me fixèrent solidement les

chevilles a chacun des montants, passèrent un oreiller sous les fesses pour me faire

bien ressortir ma chatte

L’un d’entre eux alla chercher un flacon et versa quelques gouttes d’un liquide sur

mon clitoris je ressentis des brûlures, des démangeaisons, cela devenait intenable, ma

chatte mouillait, démangeait, salivait, dégoulinait, s’ouvrait, j’essayais de me

tortiller, mais impossible, je haletais, hurlais de plaisir, j’essayais en vain de

remuer les jambes comme pour échapper a ce presque orgasme permanent.

Un des hommes me tendit son sexe, je la happais suçais, bien au fond de la gorge, avec

avidité comme pour faire diversion

Et j’entendais les commentaires :

  • elle a le feu aux fesses la salope, elle a faim cette chatte

  • Je crois que les bourges sont encore pire que les autres, sa chatte est

luisante, baveuse, elle ne demande qu’à être remplie

  • Tu as vu comme elle se tortille la femelle, un peu de retenue Patricia, tu es

indécente

  • Elle a un bassin a être prise sans ménagement, a le husarde

  • Tu crois que c’est le moment ?

  • Attends, je me vide les couilles

Je sentis un jet inondant ma bouche, j’avalais avec plaisir, je continuais de jouir,

je n’en pouvais plus

  • Allez, on y vas : tu veux y aller ou j’y vais, j’y vais et toi tu te fais

sucer

  • Ok

  • Alors ma belle, tu veux que j’éteigne le feu que tu as au cul ?, tu veux que je

m’occupe de ta chatte ?, que je te baise ?,

-Oui, s’il vous plaît Monsieur Alain baisez moi

Monsieur Alain alla chercher un énorme gode.

Tu vas voir, je suis sur que ta chatte va l’avaler

Il me pénétra d’abord avec deux, puis trois, puis quatre doigts, j’entendais le

clapotis de la cyprine, j’étais véritablement inondée

Elle est a point la bourge, tu te souviens ce que je t’ai dit ma belle, tu seras

étonnée de ce que ta chatte va avaler, et je suis sur qu’elle va aimer, tu peux crier,

chienne, je veux te voir jouir et t’entendre piailler

Sa main allait et venait en moi, j’avais reçu l’ordre de ne pas jouir, c’était

difficile de le respecter

Puis il présenta un énorme gode, le fit pénétrer par petits coups successifs, je le

sentais entrer en moi peu a peu, m’écartant mes lèvres, je couinais de douleur, de

plaisir, il s’enfonçait, Alain me libéra les chevilles, instinctivement j’écartais

encore plus les cuisses pour aider a faire entrer le god, puis, ne pouvant plus me

retenir, je hurlais de plaisir dans un gigantesque orgasme, les spasmes faisaient

sursauter mon corps

La suite de l’après midi : ils me firent prendre des positions on ne peut plus

indécentes, obscènes, ils m’avaient vaincue, je me suis donnée, livrée abandonnée à

eux sans retenue , lorsque je me rebellais ou que ma pudeur refaisait surface, une

bonne fessée, paire de claques ou fouet me remettait les idées en place, c’était un

véritable dressage, grande ouverte, j’étais un jouet , mes fesses me cuisaient, mais

j’étais heureuse, comblée de ne pouvoir me dérober a leurs exigences.

Patricia2

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